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Psaumes 374 Fais de lâĂternel tes dĂ©lices, Et il te donnera ce que ton coeur dĂ©sire. EsaĂŻe 122 Voici, Dieu est ma dĂ©livrance, Je serai plein de confiance, et je ne craindrai rien ; Car lâĂternel, lâĂternel est ma force et le sujet de mes louanges ; Câest lui qui mâa sauvĂ©. EsaĂŻe 123 Vous puiserez de lâeau avec joie Aux sources du salut, Romains 52 Ă qui nous devons dâavoir eu par la foi accĂšs Ă cette grĂące, dans laquelle nous demeurons fermes, et nous nous glorifions dans lâespĂ©rance de la gloire de Dieu. Matthieu 58 Le Seigneur JĂ©sus a dit Heureux ceux qui ont le coeur pur, car ils verront Dieu ! » Jean 318 Le Seigneur JĂ©sus a dit Celui qui croit en lui nâest point jugĂ© ; mais celui qui ne croit pas est dĂ©jĂ jugĂ©, parce quâil nâa pas cru au nom du Fils unique de Dieu. » 1 Pierre 413 RĂ©jouissez-vous, au contraire, de la part que vous avez aux souffrances de Christ, afin que vous soyez aussi dans la joie et dans lâallĂ©gresse lorsque sa gloire apparaĂźtra. DeutĂ©ronome 3329 Que tu es heureux, IsraĂ«l ! Qui est comme toi, Un peuple sauvĂ© par lâĂternel, Le bouclier de ton secours Et lâĂ©pĂ©e de ta gloire ? Tes ennemis feront dĂ©faut devant toi, Et tu fouleras leurs lieux Ă©levĂ©s. 2 Chroniques 97 Heureux tes gens, heureux tes serviteurs, qui sont continuellement devant toi et qui entendent ta sagesse ! Proverbes 1620 Celui qui rĂ©flĂ©chit sur les choses trouve le bonheur, Et celui qui se confie en lâĂternel est heureux.
Tudois devenir l'homme que tu es. Fais ce que toi seul peux faire. Deviens sans cesse celui que tu es, sois le maĂźtre et le sculpteur de toi-mĂȘme. Chaque homme cache en lui un enfant qui veut jouer. Le serpent qui ne peut changer de peau, meurt. Il en va de mĂȘme des esprits que l'on empĂȘche de changer d'opinion : ils cessent d'ĂȘtre esprit. Citations âș Vie âș On s'est mis d'accord pour considĂ©rer qu'avoir beaucoup de critiques, c'est un succĂšs. Citation sur la vie de Friedrich Nietzsche On s'est mis d'accord pour considĂ©rer qu'avoir beaucoup de critiques, c'est un succĂšs. Friedrich Nietzsche est l'auteur de la citation sur la vie "On s'est mis d'accord pour considĂ©rer qu'avoir beaucoup de critiques, c'est un succĂšs.". Friedrich Nietzsche est Ă©galement l'auteur des citations Câest bien un signe de lâastuce des femmes quâelles aient su presque partout sa faire entretenir, comme des frelons dans la ruche. Lâhomme est-il une erreur de Dieu, ou Dieu une erreur de lâhomme ? Il faut quitter la vie comme Ulysse quitta Nausicaa - en la bĂ©nissant plus quâen lâaimant. La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. On ment bien de la bouche, mais avec la gueule qu'on fait en mĂȘme temps, on dit la vĂ©ritĂ© quand mĂȘme. La connaissance tue l'action, pour agir il faut ĂȘtre obnubilĂ© par l'illusion. La philosophie est Ă mes yeux un explosif effroyable qui met tout en danger. Celui qui loue fait semblant de rendre, mais, en vĂ©ritĂ©, il veut quâon lui donne ! Quand on ne trouve plus la grandeur de Dieu, on ne la trouve plus nulle part, il faut la nier ou la crĂ©er. Nombreux sont opiniĂątres en ce qui touche la voie une fois prise, peu en ce qui touche le but. La souffrance d'autrui est chose qui doit s'apprendre. L'amour est l'Ă©tat dans lequel les hommes ont les plus grandes chances de voir les choses telles qu'elles ne sont pas. Cupidon est avant tout un petit rĂ©gisseur de théùtre. Si ton oeil Ă©tait plus aigu tu verrais tout en mouvement. Les mĂ©taphysiciens, ces albinos de la pensĂ©e, les plus blĂȘmes parmi les ĂȘtres pĂąles. La plupart des hommes sont bien trop occupĂ©s d'eux-mĂȘmes pour ĂȘtre mĂ©chants. Qui ne croit en lui-mĂȘme, ment toujours. Qu'est-ce que le bonheur ? Le sentiment que la puissance croĂźt, qu'une rĂ©sistance est en voie d'ĂȘtre surmontĂ©e. L'Ă©troite voie de notre ciel propre passe toujours par la voluptĂ© de notre propre enfer. Il est plus facile de sâarranger avec sa mauvaise conscience quâavec sa mauvaise rĂ©putation. Qu'est-ce qui est mauvais ? Tout ce qui vient de la faiblesse. La connaissance est pour l'humanitĂ© un magnifique moyen de s'anĂ©antir elle-mĂȘme. Les vĂ©ritĂ©s sont des illusions dont on a oubliĂ© qu'elles le sont. Une heure d'ascension dans les montagnes fait d'un gredin et d'un saint deux crĂ©atures Ă peu prĂšs semblables. La fatigue est le plus court chemin vers l'Ă©galitĂ©, vers la fraternitĂ©. Et durant le sommeil s'ajoute la libertĂ©. Nos dĂ©fauts sont les yeux par lesquels nous voyons l'idĂ©al. Etre vrai, peu le peuvent ! S'il y a un Dieu, comment supporter de ne l'ĂȘtre pas ? LĂ oĂč la volontĂ© de puissance fait dĂ©faut, il y a dĂ©clin. Que dit ta conscience ? Tu dois devenir l'homme que tu es. Ce qui se fait par amour se fait toujours par-delĂ le bien et le mal. Ce qui ne tue pas rend plus fort. Puisse chacun avoir la chance de trouver la conception de la vie qui lui permet de rĂ©aliser son maximum de bonheur. Deviens ce que tu es. L'homme est un pont, non une fin. La croyance que rien ne change provient soit d'une mauvaise vue, soit d'une mauvaise foi. La premiĂšre se corrige, la seconde se combat. Veux-tu avoir la vie facile? Reste toujours prĂšs du troupeau, et oublie-toi en lui. La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. Ce qui doit tomber, il ne faut pas le retenir. Il faut encore le pousser. L'intellectualitĂ© supĂ©rieure et indĂ©pendante, la volontĂ© de solitude, la grande raison apparaissent comme des dangers. La cruautĂ© est le remĂšde de l'orgueil blessĂ©. Nos devoirs - ce sont les droits que les autres ont sur nous. La terre est comme la poitrine d'une femme utile autant qu'agrĂ©able. L'homme est une corde tendue entre l'animal et le Surhomme, une corde au-dessus d'un abĂźme. Quel est le sceau de la libertĂ© acquise ? Ne plus avoir honte de soi-mĂȘme. On paie mal un maĂźtre en ne restant toujours que l'Ă©lĂšve. Entre amis, il est si beau que le silence soit d'or, mais le rire bon et frais l'est beaucoup plus encore. Mieux vaut ne rien savoir que beaucoup savoir Ă moitiĂ© ! On a mal regardĂ© la vie, quand on n'a pas aussi vu la main qui tue en gant de velours. Ah ! Il y a tant de choses entre le ciel et la terre que les poĂštes sont seuls Ă avoir rĂȘvĂ©es. Cette femme est belle et intelligente hĂ©las, combien elle serait devenue plus intelligente si elle nâĂ©tait pas belle. La femme n'est pas encore capable d'amitiĂ© elle ne connaĂźt que l'amour. Que d'hommes se pressent vers la lumiĂšre non pas pour voir mieux, mais pour mieux briller. Tout amour pense Ă l'instant et Ă l'Ă©ternitĂ©, mais jamais Ă la durĂ©e. Danses avec les pieds, avec les idĂ©es, avec les mots, et dois-je aussi ajouter que l'on doit ĂȘtre capable de danser avec la plume ? Dans la vengeance et en amour, la femme est plus barbare que l'homme. Le poison dont meurt une nature plus faible est un fortifiant pour le fort. Un homme paraĂźt avoir du caractĂšre beaucoup plus souvent parce qu'il suit toujours son tempĂ©rament que parce qu'il suit toujours ses principes. La familiaritĂ© irrite chez un supĂ©rieur, parce qu'on ne peut la lui rendre. Il est plus facile de renoncer Ă une passion que de la maĂźtriser. Qu'est-ce que le gĂ©nie ? - Avoir un but Ă©levĂ© et vouloir les moyens d'y parvenir. Plaisir sensation dâun accroissement de puissance. C'est perdre de sa force que compatir. L'amitiĂ© naĂźt lorsqu'on a pour l'autre une estime supĂ©rieure Ă celle qu'on a pour soi-mĂȘme. Qui vit de combattre un ennemi a tout intĂ©rĂȘt de le laisser en vie. VĂ©nĂ©rez la maternitĂ©, le pĂšre n'est jamais qu'un hasard. Qui trop combat le dragon devient dragon lui-mĂȘme. Seul ce qui ne cesse de nous faire souffrir reste dans la mĂ©moire. Si l'on te dĂ©cerne des louanges, c'est que tu ne suis pas ta propre vie, mais celle d'un autre. L'homme souffre si profondĂ©ment qu'il a dĂ» inventer le rire. Les gens qui nous donnent leur pleine confiance croient par lĂ avoir un droit sur la nĂŽtre. C'est une erreur de raisonnement ; des dons ne sauraient donner un droit. Au fond, il n'y a qu'un seul chrĂ©tien, et il est mort sur la croix. Dans le vĂ©ritable amour, c'est l'Ăąme qui enveloppe le corps. Dieu est une pensĂ©e qui rend courbe ce qui est droit, fait tourner ce qui est immobile. Tout acte exige l'oubli. Dieu aussi a son enfer c'est son amour des hommes. Toute l'histoire du monde se conçoit comme la biographie d'un seul homme. VoilĂ un envieux ne lui souhaitez pas d'enfants ; il serait jaloux d'eux parce qu'il ne peut plus avoir leur Ăąge. Lâami doit ĂȘtre passĂ© maĂźtre dans lâart de deviner et dans lâart de se taire. La pensĂ©e du suicide est une puissante consolation, elle aide Ă passer plus dâune mauvaise nuit. Nul vainqueur ne croit au hasard. Toute Eglise est la pierre sur le tombeau d'un Homme-Dieu ; elle veut Ă tout prix l'empĂȘcher de ressusciter. L'art rend supportable l'aspect de la vie en plaçant dessus le crĂȘpe de la pensĂ©e indĂ©cise. Et souvent il y a plus de bravoure Ă se retenir et Ă passer pour se rĂ©server pour un ennemi plus digne. Jamais encore la vĂ©ritĂ© ne sâest accrochĂ©e au bras dâun intransigeant. Les auteurs les plus spirituels produisent le plus imperceptible des sourires. L'homme vĂ©ritable veut deux choses le danger et le jeu. C'est pourquoi il veut la femme, le jouet le plus dangereux. Pour le fort rien n'est plus dangereux que la pitiĂ©. La femme est la seconde faute de Dieu. Il est bien des choses que je veux une foi pour toutes, ne point savoir. La sagesse fixe des limites mĂȘme Ă la connaissance. Le plus important des Ă©vĂ©nements rĂ©cents, le fait que Dieu est mort, commence dĂ©jĂ Ă projeter sur l'Europe ses premiĂšres ombres. On ne reste philosophe qu'en se taisant. Lâenfance est innocence mais aussi nĂ©gligence, câest un recommencement, un jeu, une roue libre, un premier mouvement, un Oui SacrĂ©. Qui ne sait mettre sa volontĂ© dans les choses, y met au moins un sens cela revient Ă croire qu'une volontĂ© s'y trouve dĂ©jĂ . Souviens-toi d'oublier. Si tu plonges longtemps ton regard dans l'abĂźme, l'abĂźme te regarde aussi. Quand la paix rĂšgne, l'homme belliqueux se fait la guerre Ă lui-mĂȘme. Le mariage est la forme la plus menteuse des relations sexuelles ; c'est pourquoi il jouit de l'approbation des consciences pures. Quand on a la foi, on peut se passer de la vĂ©ritĂ©. Tu dois devenir l'homme que tu es. Fais ce que toi seul peux faire. Deviens sans cesse celui que tu es, sois le maĂźtre et le sculpteur de toi-mĂȘme. La vie a besoin d'illusions, c'est-Ă -dire de non-vĂ©ritĂ©s tenues pour des vĂ©ritĂ©s. Chaque homme cache en lui un enfant qui veut jouer. La mĂ©taphysique, la morale, la religion, la science, sont considĂ©rĂ©es comme des formes diverses de mensonge il faut leur aide pour croire Ă la vie. Le bonheur est une femme. Celui qui lutte contre les monstres doit veiller Ă ne pas le devenir lui-mĂȘme. Je suis corps tout entier et rien d'autre ; l'Ăąme n'est qu'un mot dĂ©signant une parcelle du corps. Lâhomme a besoin de ce quâil y a de pire en lui sâil veut parvenir Ă ce quâil a de meilleur. Le dĂ©sir est signe de guĂ©rison ou d'amĂ©lioration. La femme est une surface qui mime la profondeur. La vanitĂ© dâautrui nâoffense notre goĂ»t que lorsquâelle choque notre propre vanitĂ©. Les douceurs et les frissons sont rĂ©servĂ©s aux Ăąmes subtiles. Les grandes guerres modernes sont la consĂ©quence des Ă©tudes historiques. La foule est une somme d'erreurs qu'il faut corriger. Le royaume des cieux est un Ă©tat du coeur. Deviens ce que tu es. Fais ce que toi seul peut faire. Ce n'est pas le moindre charme d'une thĂ©orie que d'ĂȘtre rĂ©futable. RĂȘver de la vie, c'est justement ce que j'appelle "ĂȘtre Ă©veillĂ©". Le langage est-il l'expression adĂ©quate de toutes les rĂ©alitĂ©s ? Ce quâon fait nâest jamais compris mais seulement louĂ© ou blĂąmĂ©. Ce n'est pas l'intensitĂ©, c'est la durĂ©e d'un grand sentiment qui fait l'homme supĂ©rieur. CrĂ©er - voilĂ la grande dĂ©livrance de la souffrance, voilĂ ce qui rend la vie lĂ©gĂšre. La culture, c'est avant tout une unitĂ© de style qui se manifeste dans toutes les activitĂ©s d'une nation. Les convictions sont des prisons. Une oeuvre dâart nâest lisible que par approfondissements successifs. Tout ce qui a son prix est de peu de valeur. La moralitĂ©, c'est l'instinct du troupeau chez l'individu. Beaucoup trop d'hommes viennent au monde l'Etat a Ă©tĂ© inventĂ© pour ceux qui sont superflus. Il faut avoir besoin d'esprit pour arriver Ă avoir de l'esprit. De quel dĂ©sert est entourĂ© le gĂ©nie ! Les convictions sont des ennemis de la vĂ©ritĂ© plus dangereux que les mensonges. Si l'on comprenait Ă l'aide de la raison comment peut ĂȘtre clĂ©ment et juste ce Dieu qui fait preuve de tant de colĂšre, Ă quoi servirait la foi ? La musique offre aux passions le moyen de jouir d'elles-mĂȘmes. JusquâĂ prĂ©sent toute grande philosophie fut la confession de son auteur, une sorte de mĂ©moires involontaires. On oublie sa faute quand on l'a confessĂ©e Ă un autre, mais d'ordinaire l'autre ne l'oublie pas. La jalousie qui se tait s'accroĂźt dans le silence. Il y a quelque chose Ă dire en faveur de lâexception, pourvu quâelle ne veuille jamais devenir la rĂšgle. La souffrance d'autrui est chose qui doit s'apprendre et jamais elle ne peut ĂȘtre apprise pleinement. Un animal grĂ©gaire, un ĂȘtre docile, maladif, mĂ©diocre, lâEuropĂ©en dâaujourdâhui ! Le gĂ©nie rĂ©side dans l'instinct. L'homme est quelque chose qui doit ĂȘtre dĂ©passĂ©. Celui qui sait commander trouve toujours ceux qui doivent obĂ©ir. Nous ne nous sommes jamais cherchĂ©s - comment donc se pourrait-il que nous nous dĂ©couvrions un jour? Quand il nous faut changer d'opinion au sujet de quelqu'un, nous lui comptons cher l'embarras qu'il nous cause. On ne saurait ĂȘtre l'homme de sa spĂ©cialitĂ© que si l'on est aussi sa victime. La terre a une peau et cette peau a des maladies ; une de ces maladies s'appelle l'homme. Celui qui ne veut agir et parler qu'avec justesse finit par ne rien faire du tout. Ce qui m'importe, c'est l'Ă©ternelle vivacitĂ© et non pas la vie Ă©ternelle. On commence Ă se mĂ©fier des personnes trĂšs avisĂ©es dĂšs qu'elles sont embarrassĂ©es. Le concubinage, lui aussi, a Ă©tĂ© corrompu - par le mariage. Avoir honte de son immoralitĂ©, c'est un premier degrĂ© de l'Ă©chelle ; arrivĂ© en haut, on aura honte aussi de sa propre moralitĂ©. La vertu reste le plus coĂ»teux des vices, il faut qu'elle le reste. Le bonheur, quel quâil soit, apporte air, lumiĂšre et libertĂ© de mouvement. Je ne saurais voir dans l'athĂ©isme un rĂ©sultat, un Ă©vĂ©nement il est chez moi instinct naturel. Faible serait l'attrait de la connaissance, s'il n'y avait pas tant de pudeur Ă vaincre pour y parvenir. Les plus grands naissent posthumes. La colĂšre vide l'Ăąme de toutes ses ressources, de sorte qu'au fond paraĂźt la lumiĂšre. Ce qui dĂ©coule du pessimisme, câest la doctrine de lâabsurditĂ© de lâexistence. Quelque dĂ©vĂȘtue qu'elle puisse ĂȘtre, une jolie femme ne prend jamais froid, pour peu qu'elle ait le sentiment d'ĂȘtre en beautĂ©. Jusqu'Ă ce jour rien de ce qui donne de la couleur Ă l'existence n'a encore eu son histoire. A lutter avec les mĂȘmes armes que ton ennemi, tu deviendras comme lui. Le chĂątiment est fait pour amĂ©liorer celui qui chĂątie. De tout temps on a pris les "beaux sentiments" pour des arguments. Ce qui dĂ©truit les illusions, les siennes et celles des autres, la nature le punit avec toute la rigueur d'un tyran. Les mĂ©decins les plus dangereux sont ceux qui, comĂ©diens nĂ©s, imitent le mĂ©decin-nĂ© avec un art consommĂ© d'illusion. Tu vois les hautes tours s'Ă©lever au-dessus des maisons seulement quand tu as quittĂ© la ville. Il n'y a pas de phĂ©nomĂšnes moraux, rien qu'une interprĂ©tation morale des phĂ©nomĂšnes. Parmi toutes les variĂ©tĂ©s de l'intelligence dĂ©couvertes jusqu'Ă prĂ©sent, l'instinct est, de toutes, la plus intelligente. Le luxe est une forme de triomphe permanent sur tous ceux qui sont pauvres, arriĂ©rĂ©s, impuissants, malades, inassouvis. Beaucoup de brĂšves folies, c'est lĂ ce que vous appelez l'amour. Et votre mariage met fin Ă beaucoup de brĂšves folies par une longue sottise. Notre caractĂšre est dĂ©terminĂ© par l'absence de certaines expĂ©riences plus encore que par celles que l'on fait. Si nous nous trouvons tellement Ă l'aise dans la pleine nature, c'est qu'elle n'a pas d'opinion sur nous. La maturitĂ© de lâhomme, câest dâavoir retrouvĂ© le sĂ©rieux quâon avait au jeu quand on Ă©tait enfant. L'augmentation de la sagesse se laisse mesurer exactement d'aprĂšs la diminution de bile. Ce qui se dit la nuit ne voit jamais le jour. L'effort des philosophes tend Ă comprendre ce que les contemporains se contentent de vivre. Toute vertu a des privilĂšges, par exemple celui d'apporter au bĂ»cher d'un condamnĂ© son petit fagot Ă soi. L'avantage de la mauvaise mĂ©moire est qu'on jouit plusieurs fois des mĂȘmes choses pour la premiĂšre fois. Toute forme dâabsolu relĂšve de la pathologie. Vivre, c'est repousser quelque chose qui veut mourir. La fortune ne devrait ĂȘtre possĂ©dĂ©e que par les gens d'esprit autrement, elle reprĂ©sente un danger public. Ne faut-il pas commencer par se haĂŻr, lorsque lâon doit sâaimer. PlutĂŽt une inimitiĂ© d'un bloc qu'une amitiĂ© faite de bois recollĂ©. Le mariage est une longue conversation. Le christianisme et l'alcool, les deux plus grands agents de corruption. Le mauvais goĂ»t a son droit autant que le bon goĂ»t. En vĂ©ritĂ©, les convictions sont plus dangereuses que les mensonges. Il faut retenir son coeur, car si on le laissait aller, combien vite, alors, on perdrait la tĂȘte ! L'Ă©tat qui engendre la rĂšgle est diffĂ©rent de celui que la rĂšgle engendre. Il y a une innocence dans le mensonge qui est signe de bonne foi. Celui qui se sait profond s'efforce d'ĂȘtre clair ; celui qui voudrait sembler profond Ă la foule s'efforce d'ĂȘtre obscur. Il faut mettre en question la valeur mĂȘme des valeurs morales. Ce sont les paroles les moins tapageuses qui suscitent la tempĂȘte et les pensĂ©es qui mĂšnent le monde viennent sur des pattes de colombe. L'architecte est une sorte d'oratoire de la puissance au moyen des formes. Les singes sont bien trop bons pour que l'homme puisse descendre d'eux. Certains ne parviennent pas Ă devenir des penseurs parce que leur mĂ©moire est trop bonne. Ce sont les instincts les plus Ă©levĂ©s qui poussent l'individu en dehors et bien au-dessus de la moyenne. On ne reste parfois fidĂšle Ă une cause que parce que ses adversaires ne cessent d'ĂȘtre insipides. Les poĂštes manquent de pudeur Ă l'Ă©gard de leurs aventures ils les exploitent. Observer la dĂ©marche des plus belles Anglaises on ne trouve en aucun pays du monde de plus beaux canards ni de plus beaux dindons... Ma seule ambition de poĂšte est de recomposer, de ramener Ă l'unitĂ©, ce qui n'est que fragment, Ă©nigme, effroyable hasard. On est le plus en danger d'ĂȘtre Ă©crasĂ© lorsqu'on vient d'esquiver une voiture. Quand on veut dresser sa conscience, elle vous embrasse, en vous mordant. Un peu de santĂ© par-ci, par-lĂ , c'est pour le malade le meilleur remĂšde. Ce que nous faisons dans notre intĂ©rĂȘt ne doit nous rapporter aucun compliment d'ordre moral, ni de la part des autres, ni de la nĂŽtre. Le mariage met fin Ă beaucoup de brĂšves folies par une longue sottise. Ce qui me bouleverse, ce n'est pas que tu m'aies menti, c'est que dĂ©sormais, je ne pourrai plus te croire. Le serpent qui ne peut changer de peau, meurt. Il en va de mĂȘme des esprits que l'on empĂȘche de changer d'opinion ils cessent d'ĂȘtre esprit. Une belle femme a tout de mĂȘme quelque chose de commun avec la vĂ©ritĂ© toutes deux donnent plus de bonheur lorsqu'on les dĂ©sire que lorsqu'on les possĂšde. DĂšs que l'homme s'est parfaitement identifiĂ© Ă l'humanitĂ©, il meut la nature entiĂšre. La vie n'est dĂ©sormais plus conçue par la morale elle veut l'illusion, elle vit d'illusion. Jadis le moi se cachait dans le troupeau ; Ă prĂ©sent, le troupeau se cache encore au fond du moi. Plus nous nous Ă©levons et plus nous paraissons petits Ă ceux qui ne savent pas voler. Nous cependant, nous voulons ĂȘtre les poĂštes de notre vie, et cela avant tout dans les plus petites choses quotidiennes. Les avocats d'un criminel sont rarement assez artistes pour utiliser, au profit du coupable, la beautĂ© terrible de son acte. Peu de gens sont faits pour l'indĂ©pendance, c'est le privilĂšge des puissants. La vie n'est qu'une variĂ©tĂ© de la mort, et une variĂ©tĂ© trĂšs rare. Ne dĂ©pouillez pas la femme de son mystĂšre. Croyez-moi ! Le secret pour rĂ©colter la plus grande fĂ©conditĂ©, la plus grande jouissance de l'existence, consiste Ă vivre dangereusement ! Il est possible de vivre sans se souvenir et de vivre heureux, comme le dĂ©montre l'animal, mais il est impossible de vivre sans oublier. Toute communautĂ© - un jour, quelque part, d'une maniĂšre ou d'une autre - rend "commun". On veut la libertĂ© aussi longtemps qu'on n'a pas la puissance ; mais si on a la puissance, on veut la suprĂ©matie. Le fourreau dorĂ© de la compassion cache parfois le poignard de lâenvie. Notre prochain, ce n'est pas notre voisin, c'est le voisin du voisin. Le futur appartient Ă celui qui a la plus longue mĂ©moire. Vivre de telle sorte qu'il te faille dĂ©sirer revivre, c'est lĂ ton devoir. Formule de mon bonheur un "oui", un "non", une ligne droite, un but... On n'attaque pas seulement pour faire du mal Ă quelqu'un mais peut-ĂȘtre aussi pour le seul plaisir de prendre conscience de sa force. Ne pas confondre les comĂ©diens pĂ©rissent faute d'ĂȘtre louĂ©s, les hommes vrais faute d'ĂȘtre aimĂ©s. Au fond du coeur, l'homme n'est que mĂ©chant ; mais au fond du coeur, la femme est mauvaise. Je fais cas d'un philosophe dans la mesure oĂč il est capable de fournir un exemple. L'auteur doit cĂ©der la parole Ă son oeuvre. Ne sais-tu pas que dans chacune de tes actions, l'histoire entiĂšre du devenir se rĂ©pĂšte en abrĂ©gĂ© ? Je suis trop fier pour croire quâun homme mâaime. Cela supposerait quâil sache qui je suis. La volontĂ© est, pour tout ce qui est passĂ©, un mĂ©chant spectateur. La valeur dâune chose rĂ©side parfois non dans ce quâon en tire mais dans ce quâon paie pour elle, dans ce quâelle nous coĂ»te. Dieu est-il une pure et simple invention, une astuce du Diable ? Il faut deviner le peintre pour comprendre l'image. La morale n'est qu'une interprĂ©tation - ou plus exactement une fausse interprĂ©tation - de certains phĂ©nomĂšnes. Je dĂ©teste les Ăąmes Ă©troites il n'y a lĂ rien de bon et presque rien de mauvais. La folie est quelque chose de rare chez l'individu ; elle est la rĂšgle pour les groupes, les partis, les peuples, les Ă©poques. La femme qui se sait joliment parĂ©e ne s'est jamais enrhumĂ©. Ce que je prĂ©fĂ©rerais, câest dâaimer la terre comme lâaime la lune et de nâeffleurer sa beautĂ© que des yeux. Chaque mot est un prĂ©jugĂ©. Tout individu collabore Ă l'ensemble du cosmos. MĂ©fiez-vous de tous ceux en qui l'instinct de punir est puissant. Ce qui peut ĂȘtre commun est toujours de peu de valeur. Promesse de la science la science moderne a pour but aussi peu de douleur que possible. Il faut se garder du mauvais goĂ»t d'avoir des idĂ©es communes avec beaucoup de gens. Câest de nos vertus que nous sommes le mieux punis. A force de vouloir rechercher les origines, on devient Ă©crevisse. L'historien voit en arriĂšre ; il finit par croire en arriĂšre. Tous ceux que nous avons longtemps fait attendre dans l'antichambre de notre faveur finissent par fermenter et succomber Ă l'aigreur. Il est difficile de vivre avec des humains, parce qu'il est difficile de se taire. Vouloir libĂšre. L'injustice ne se trouve jamais dans les droits inĂ©gaux, elle se trouve dans la prĂ©tention Ă des droits Ă©gaux. Dans la plupart des amours, il y en a un qui joue et l'autre qui est jouĂ© ; Cupidon est avant tout un petit rĂ©gisseur de théùtre. Pour celui qui est trĂšs seul, le bruit est dĂ©jĂ une consolation. Tant que la vie est ascendante, bonheur et instinct sont identiques. Tout ce qui Ă©lĂšve l'individu au-dessus du troupeau, tout ce qui fait peur au prochain s'appelle Mal. Si vous ne pouvez ĂȘtre des saints de la connaissance, soyez-en au moins les guerriers. L'acteur n'Ă©prouve pas le sentiment qu'il exprime. Il serait perdu, s'il l'Ă©prouvait. Rire, c'est se rĂ©jouir d'un prĂ©judice, mais avec bonne conscience. Tout esprit profond a besoin d'un masque. ExpĂ©rimenter, câest imaginer. Le sĂ©rieux, ce symptĂŽme Ă©vident dâune mauvaise digestion. Une Ăąme dĂ©licate est gĂȘnĂ©e de savoir qu'on lui doit des remerciements, une Ăąme grossiĂšre, de savoir qu'elle en doit. AussitĂŽt qu'on nous montre quelque chose d'ancien dans une innovation, nous sommes apaisĂ©s. Les femmes deviennent par amour tout-Ă -fait ce qu'elles sont dans l'idĂ©e des hommes dont elles sont aimĂ©es. Un concept est une invention Ă laquelle rien ne correspond exactement, mais Ă laquelle nombre de choses ressemblent. Ce n'est pas le doute, c'est la certitude qui rend fou. Le droit des autres est une concession faite par notre sentiment de puissance au sentiment de puissance de ces autres. Ne vaut-il pas mieux tomber entre les mains d'un meurtrier que dans les rĂȘves d'une femme en rut ? Faites donc ce que vous voulez - mais soyez dâabord de ceux qui peuvent vouloir ! Le christianisme a donnĂ© du poison Ă boire Ă Eros. Il n'en est pas mort, mais il a dĂ©gĂ©nĂ©rĂ© en vice. L'artiste a le pouvoir de rĂ©veiller la force d'agir qui sommeille dans d'autres Ăąmes. La nature et l'histoire sont fonciĂšrement immorales. Nul ne ment autant qu'un homme indignĂ©. Des femmes peuvent trĂšs bien lier amitiĂ© avec un homme ; mais pour la maintenir - il y faut peut-ĂȘtre le concours d'une petite antipathie physique. Es-tu un esclave ? Tu ne peux donc pas ĂȘtre un ami. Es-tu un tyran ? Tu ne peux donc pas avoir d'amis. Vouloir le vrai, c'est s'avouer impuissant Ă le crĂ©er. Celui qu'entoure la flamme de la jalousie, celui-lĂ en fin de compte, pareil au scorpion, tourne contre lui-mĂȘme son dard empoisonnĂ©. On en vient Ă aimer son dĂ©sir et non plus l'objet de son dĂ©sir. Peut-ĂȘtre mĂȘme dans le fameux amour maternel y a-t-il une bonne part de curiositĂ©. Un peuple est perdu lorsqu'il confond son devoir avec l'idĂ©e du devoir en gĂ©nĂ©ral. Il faut savoir se perdre pour un temps si l'on veut apprendre quelque chose des ĂȘtres que nous ne sommes pas nous-mĂȘmes. Les pensĂ©es sont les ombres de nos sentiments. Les unions qui sont conclues par amour ont l'erreur pour pĂšre et la nĂ©cessitĂ© pour mĂšre. La joie de ceux qui prennent, je ne la connais pas, et jâai rĂȘvĂ© souvent quâil devait ĂȘtre plus doux encore de voler que de prendre. On se refuse de croire aux sottises des hommes intelligents ; quelle entorse aux droits de l'homme ! L'art et rien que l'art, nous avons l'art pour ne point mourir de la vĂ©ritĂ©. Ma joie de donner est morte Ă force de donner. Ce sont les hommes les plus sensuels qui doivent fuir devant les femmes et torturer leur corps. Le fanatisme est la seule forme de volontĂ© qui puisse ĂȘtre insufflĂ©e aux faibles et aux timides. L'admiration d'une qualitĂ© ou d'un art peut ĂȘtre si forte qu'elle nous empĂȘche de nous efforcer d'en obtenir la possession. La mĂšre de la dĂ©bauche nâest pas la joie mais lâabsence de joie. On amĂšne les gens courageux Ă une action en la leur exposant plus pĂ©rilleuse qu'elle ne l'est. Les poĂštes nâont pas la pudeur de ce quâils vivent ils lâexploitent. Parler beaucoup de soi peut ĂȘtre un moyen de se dissimuler. La rĂ©solution chrĂ©tienne de considĂ©rer le monde comme laid et mauvais a rendu le monde laid et mauvais. La sottise chez les femmes, c'est ce qu'il y a de moins fĂ©minin. DouĂ© d'une vue plus subtile, tu verras toutes les choses mouvantes. Tu veux te dĂ©cupler, te centupler ? Trouve des zĂ©ros. Lâindividu bien conforme est taillĂ© dâun bois Ă la fois dur, tendre et parfumĂ©. Ce qui se paie n'a guĂšre de valeur ; voilĂ la croyance que je cracherai au visage des esprits mercantiles. Qui voit peu voit toujours trop peu ; qui entend mal entend toujours quelque chose de trop. La conscience est la derniĂšre et la plus tardive Ă©volution de la vie organique, et par consĂ©quent ce qu'il y a de moins accompli et de plus fragile en elle. Sans la musique, la vie serait une erreur. Pour vivre seul, il faut ĂȘtre une bĂȘte, ou un dieu, dit Aristote. Reste un troisiĂšme cas, il faut ĂȘtre les deux Ă la fois philosophe. Que dire ? L'homme n'est qu'une mĂ©prise de Dieu ? Ou bien Dieu une mĂ©prise de l'homme ? La vĂ©ritĂ© est une femme ses voiles, ses pudeurs et ses mensonges lui appartiennent essentiellement. Personne peut-ĂȘtre nâa jamais Ă©tĂ© assez sincĂšre pour dĂ©finir la sincĂ©ritĂ©. Lâhomme a créé le pĂ©chĂ© et il repousserait cet enfant unique rien que parce quâil dĂ©plaĂźt Ă Dieu, le grand-pĂšre du pĂ©chĂ© ? Ce qu'il y a d'essentiel et d'inapprĂ©ciable dans toute la morale, c'est qu'elle est une contrainte prolongĂ©e. La perspective certaine de la mort pourrait mĂȘler Ă la vie une goutte dĂ©licieuse et parfumĂ©e dâinsouciance - mais, Ăąmes bizarres dâapothicaires, vous avez fait de cette goutte un poison infect, qui rend rĂ©pugnante la vie toute entiĂšre ! ConnaĂźtre, câest comprendre toute chose au mieux de nos intĂ©rĂȘts. Nous apprĂ©cions les services que quelqu'un nous rend d'aprĂšs la valeur qu'il y attache, non d'aprĂšs celle qu'ils ont pour nous. Nous avons la ressource de lâart de peur que la vĂ©ritĂ© ne nous fasse pĂ©rir. FĂ©conder le passĂ© en engendrant l'avenir, tel est le sens du prĂ©sent. Il y a toujours un peu de folie dans l'amour mais il y a toujours un peu de raison dans la folie. Contre maint dĂ©fenseur. La plus perfide façon de nuire Ă une cause est de la dĂ©fendre intentionnellement avec de mauvaises raisons. Avec une voix forte dans la gorge, on est presque incapable de penser des choses subtiles. La connaissance tue lâaction, pour agir il faut que les yeux se voilent dâun bandeau dâillusion. Atteindre son idĂ©al, c'est le dĂ©passer mĂȘme coupĂ©. Plus abstraite est la vĂ©ritĂ© que tu veux enseigner, plus tu dois en sa faveur sĂ©duire les sens. Nous ne croyons pas que la vĂ©ritĂ© reste encore vĂ©ritĂ© quand on lui enlĂšve ses voiles. Limites de notre ouĂŻe - On nâentend que les questions auxquelles on est en mesure de trouver une rĂ©ponse. Le danseur nâa-t-il pas ses oreilles dans ses orteils ! Les hommes d'action roulent comme roule la pierre, conformĂ©ment Ă l'absurditĂ© de la mĂ©canique. Les explications mystiques sont considĂ©rĂ©es comme profondes ; en rĂ©alitĂ© il sâen faut de beaucoup quâelles soient mĂȘme superficielles. La libĂ©ralitĂ© n'est souvent qu'une sorte de timiditĂ©. Copyright © 2022 . Tous droits rĂ©servĂ©s. CGUProtectionde Dieu contre tous les fleaux. Mais aujourd'hui, ils le lui ont rendu, dit-il Ă mi-voix, c'est ma consolation . Bien sĂ»r, aucun prĂȘcheur chrĂ©tien ne disait Ă ses ouailles que la CrĂ©ation du Monde et celle de lâHomme Ă©taient en fait lâĆuvre du Dieu des juifs, non pas lâĆuvre de JĂ©sus .
Nousavons attesté que ce que tu as apporté est le vrai et, pour cela, nous t'avons donné nos engagements ainsi que nos alliances. à Messager de Dieu, va à ce que tu veux ; nous sommes avec toi. Par celui qui t'a envoyé avec le vrai! si tu nous emmÚnes à cette mer et que tu la prends, nous la prenons avec toi, sans qu'aucun de nous ne manque à l'appel.
Type in a song number or phrase to search for a song. You can search using transliteration into western characters, or using language-specific characters. You can use the * character as a wildcard eg har*heral, or . to represent a single character eg Click the dropdown to see the many advanced filters available. Initializing...Initializing... Connection Error Error fetching initialization data. Please turn your internet connection on and click 'Retry' below. Add Song to Set This song is already in this set. Can't add a second time. You don't have any sets yet, choose a song and click 'Add Song to Set' to make one Here you can see a list of any worship sets that you have created. These help you to click forwards and backwards between songs. You can create these by clicking 'Add to Set' when viewing a song. Here are all the songs in your worship set. You can reorder them by dragging on the reorder icon next to each song, or remove them by clicking the cross icon. Add to Set Exit Set Exit SetMon ancre et ma voile Printed from Song not available - connect to internet to try again? Capo Dieu tu es ma force, ma consolation, Une lampe devant mes pas. Ta voix a triomphĂ© de l'ouragan, RemportĂ© le combat. Tu m'offres chaque jour Ton infaillible amour ; Toi, qui as fixĂ© le cours des Ă©toiles, Sois mon ancre, sois ma voile ! Tu Ă©tends mes ailes pour toucher les cieux, ProtĂ©gĂ© par ta main. Ta grĂące m'appelle Ă lever les yeux Et suivre ton chemin. Tu m'offres chaque jour Ton infaillible amour ; Toi, qui as fixĂ© le cours des Ă©toiles, Sois mon ancre, sois ma voile ! Ta misĂ©ricorde coule de la croix, Ton sang m'a rachetĂ©. Tout ce que je suis me vient de toi. Sans fin je te louerai. Tu m'offres chaque jour Ton infaillible amour ; Toi, qui as fixĂ© le cours des Ă©toiles, Sois mon ancre, sois ma voile ! Berbahagia Tiap Rumah Tangga ŰȘŰčÙÙÙ 4 à°à°źà±à°Żà° à°à±à°°à°Ÿà°Čà°šà°ż à°šà±à°€à± ĐąŃДба ĐČŃiĐŒ Đ„ŃĐžŃŃа ŰšÙŰčŰžÙ ŰŽŰźŰ” ۧÙÙ ŰłÙŰ ŰčÙÙ ÙÙ Ű±ŰšÙ ŰŁÙÙ۳۱ ÙÙ Ű§Ù۱ۚ ÙÙÙ۟ۚ۱ ÙÙ Ù ŰšŰȘ۳ۚÙŰÙ kfáșĄyty fy mn fdy̱ nfsy mn áșĄlhláșĄk ÓšĐ·ÒŻÒŁŃÒŻĐ· ŃÒŻĐčŃÒŻĐș ĐșаĐčĐłŃ ŃĐŸĐ»ĐłĐŸĐœ File successfully downloaded There was an error downloading this file Thanks! Your song has been submitted, please wait a day or two for it to be added to the database. You can see chords and transpose if you have set the 'Show Chords' setting. If there is sheet music you can click the button to switch to it. When the sheet music is showing you can short press/click it to play/pause, and long press/right click to play from the beginning. At the top you can click through to different language versions of the song if there are any. You can listen to the MP3s. Also, you can add this song to a set so that you can use it more easily during a worship time. Correct Song Please correct the song below, or add one you have written yourself and then click the 'Upload' button. If you have MP3s, please email them to contact Could not submit your song - are you connected to the internet? Song font size App language Display Lyrics? security measure for people in countries where phones may be searched Display Chords? Show chord fingering for guitar? Chords in SolfĂšge do re mi? Show key, time signature and tempo in song list Do side-by-side display of translated songs Don't allow screen to turn off while using program Hide top button text to make titles wider Use transitions? turn off for slow phones Show help on each page? Song Database Choose Song Languages Database updated Database update failed, please check your internet connection Successfully downloaded and installed your song databases Could not change the language - perhaps you are not connected to the internet? You can off these help messages on this page and also change a number of other app settings. Please select one or more song databases that you wish to download Please select one or more song databases to download There was an error downloading or installing the song databases. Either your device has run out of space or you have a problem with your internet connection. Please check and try again. Native App Available You are currently using this app in a web browser. It's much easier to use the native app available from the store. Do you want to download this now? Choose presentation device. 164 252 227 421 84 485 391 235